Quand tu me dis que tu pars,
Tes mots sont la lame
D'une épée brillante
Qui traverse l'obscurité,
Ils sont une piqûre linguistique
Qui fait profondément mal.
Quand tu me dis que tu pars,
Tes mots sont un tranchant
Qui tronque mes espoirs,
Blessés par la réalité,
Ce sont des graines flétries semées
Dans le sol fertile de mon cœur.
Quand tu me dis que tu pars,
Tes paroles sont un scorpion
De piqûres brûlantes
Qui tuent ma vérité,
Elles sont l'aiguille d'une horloge
Qui maintient le temps
Suspendu sans gravité.
Quand tu me dis que tu pars,
La réserve contenue
Des mers de mon illusion
Se libère de tout mon corps
Comme dans une cascade.
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