Je vais à vitesse de croisière
En ces jours d'été,
En attendant que tu entres
Dans le palais de ma mélancolie
Sans frapper aux portes
Et que tu déchire en colère,
Chacune des herbes tristes
Qui grouillent autour de moi.
Afin que mon bâton d’Aaron
Fleurisse abondamment.
Je serai désormais
Un dirigeable vert
Gonflé d'espoirs
Qui va dans le sens du souffle
Qui se dégage de tes ailes.
Une voile pleine
De vent sans nostalgie.
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