Tes mains sont
Comme une arche dans laquelle
Je conserve
Le battement de mon âme.
Quand tu pointes du doigt
Les oiseaux
Qui volent au-dessus
De ma tête
Cherchant à s'installer
Comme si c'étaient des bêtes
Vaincues,
Je ressens le soulagement de tes mains
Phosphorescentes
Dans la nuit noire
Dans laquelle je vis et meurs
Pour si longtemps de tristesse.
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