Mon être
C'était une désertique
Poussiéreuse terre,
Jusqu'à ce que
Comme vague de tsunami
Dans l'Atlantide
Ou pluie du déluge universel
La forme
De ton sourire
Devant moi
Il satisfit à mon cœur,
Il dévasta ma mélancolie,
Il aplanit avec le souffrir
Qu'il réséquait ma vieille blessée.
Mon être
C'était un cavernaire
Ente sans yeux,
Jusqu'à ce que
Comme supernova
Dans la genèse
Ou a le début du big bang
L'explosion
De ta forme
Devant moi
Il délimita la délicatesse,
Il contourna l'harmonie,
Il configura la beauté
Devant mes pupilles.
Ce fut un soir
Il fait plus que
Cent vingt lunes
Et mon âme vola
Embrouillée
Dans l'éclat
De ta flambée,
Enveloppée dans la luminosité
De ton aura.
Il m'imprégna le corps
L'arôme de ton sexe
Amalgamé
Avec l'initiatique
Murmure
De la mer.
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