Par foi je t'ordonne
Page en blanc
Que tu groupes les lettres,
Les paroles
De mon répertoire,
Les phonèmes
De ma voix
En forme belle
Et ordonnée
Et tu dis que mon corps
Tremble avec le désir
D’être au côté
De son coussin,
Que tu ordonnes les voyelles
En parfaite harmonie
Soit que je disse nacre
Sirop ou ambroisie,
Mais qu'il reste implicite
Que mon anhélation
Ce n'est pas chose cachée
Ni obscurité,
Et qu'il reste clair
D'un seul coup par tous
Que mon corps tremble
Avec le désir
D'être au côté
De son coussin.
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