Quand je t’ai vus la première fois
Immédiatement j'ai conclu
Que finalement j'étais arrivé
A l'oasis de ma vie
Au remous de paix dans mon vivre…
Tu étais
Le mythique réservoir de Siloé
Un atoll sablonneuses et des paumes vertes
Un sillon des eaux protégé du soleil
Une forêt de dattes
Que a humidifié mon cœur
Vespérale et matinale source
Des eaux cristallines
Fraîcheur du désert,
Ile des eaux dans le sable,
Mon tableau de salvation.
Parce que quand j'ai divagué
Dans mon labyrinthe de solitude
Je n'ai pas vu plus que la lumière
Se suffoquer dans mon intérieur,
Mais tu es arrivé
Et tu m’as fait être armée d'Ariane
Pour s'échapper de mon cœur,
Les écheveaux des fils inachevé
Ils m'ont noué l'intérieur,
Mais tu comme un Icare sidéral
Tu m’as fait voler loin
Et j'ai laissé
Le délirant Minotaure
Que a été laissé couler leur peur.
Quand je t’ai vus la première fois
Immédiatement j'ai conclu
Que avaient perdu leur signification
Mes mots habituels
Douleur délire tristesse.
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