Ton regard
C'est un oiseau pélagique
Qu'il se loge
Comme baume dans ma poitrine
Collyre dans mes yeux,
Oxygène à mon poumon.
C'est heure de l'affronter.
Quand tu tireras
Depuis ta puissante catapulte
Tout cet arsenal de baisers,
Mimes et caresses,
Ce que je ferai n'aura
Pas du tout
Avec prendre la retraite.
J’en ai par-dessus ma tête
Avec le siège
Au que tu m'as soumis
Pendant tant d'aubes.
Non seulement je démolirai
Par moi même mes murailles
Mais j'aplanirai
Chaque montagne chaque colline
Pour te favoriser l'entrée.
No hay comentarios.:
Publicar un comentario