A l'intérieur de mes yeux il a cassé le rêve
Comme si a été de verre démoli
Pour les pas d'un bison
Dans les prairies nord-américaines.
Mes pupilles sont restés fixes
Sur le toit nu
De ma chambre vide,
Mon lit qui s'est été habitué
A ta plaisante compagnie
Maintenant déserte, isolée
Il paraît une steppe vaste,
Une steppe où les loups
Ils hurlent dans la distance,
Ces loups qui annoncent la tristesse,
Qui récitent l'abandonnement
De mon cœur seul
Dans agonie.
Ces loups menacent ma chance,
Ils sont ma tourmentante compagnie
Du jour que tu as partis
En annoncent la décadence
De mon règne de rêve.
Qui va berger mes loups
Comme si ils étaient moutons?
Des loups entassés dans leur paquet.
Qui jettera de mon corps
Comme si était une vieille robe
Cette tristesse vaste
Qu’il opprime sans indulgence
Le passer de mes jours?
A l'intérieur de mes yeux il a cassé le rêve
Comme si a été de verre démoli
Pour les pas d'un bison
Dans les prairies nord-américaines.
Mes pupilles sont restés fixes
Sur le toit nu
De ma chambre seul,
Mon lit qui s'est été habitué
A ta plaisante compagnie
Maintenant abandonné, complètement
Il paraît une steppe vaste,
Une steppe où les loups
Ils hurlent dans la distance,
Ces loups qui annoncent la tristesse,
Qui récitent l'abandonnement
De mon cœur seul
Dans agonie.
No hay comentarios.:
Publicar un comentario